Je ne supporte plus ces injonctions internationales dictant à Israël, quoi faire ou ne pas faire, concernant Gaza ou le Liban. Un certain président mais il n’est pas le seul exige de Netanyahou ce matin qu’il stoppe son intervention a Rafah.

Qu’ils aillent exiger du Hamas de rendre les otages et après on en reparlera.

Qu’ils aillent exiger du Hezbollah de stopper leurs tirs quotidiens sur les localités civiles du Nord d’Israël et après on en reparlera.

Qu’ils aillent exiger du Liban de contrôler sa frontière et de désarmer le Hezbollah et après on en reparlera.

Qu’ils aillent exiger de l’Iran de stopper sa course à l’arme nucléaire en menaçant Israël et après on en reparlera.

Qu’ils s’occupent plutôt du cancer qui commence à ronger leur propres pays avant d’aller nous donner des conseils sur la manière de nous soigner.

C’est bien facile de dire quoi faire, quand on a pas soi même des pertes quotidiennes; quand ont pas soi même une population traumatisée par les plus grands massacres de civils jamais commis dans son histoire moderne; quand on a pas soi même, deux cent familles qui crient leur souffrance et leur désespoir de ne pas pouvoir récupérer leur enfants et parents otages à gaza.

C’est très facile de critiquer Israël, un pays démocratique qui répondra toujours diplomatiquement, poliment, sans causer de menaces ou d’excès de colères.

Cela suffit de ces postures et ces indignations à géométrie variable qui suivent la mode dictée par leurs propres minorités actives .

Aujourd’hui je n’ai pas la patience d’entendre tout cela.

Depuis le 7 octobre 2024 à 6h25 du matin, Israël a tous les droits d’attaquer ses ennemis, tous les droits de rentrer dans Gaza et de fouiller maison par maison si il le faut, pour retrouver ces concitoyens détenus depuis plus près de 9 mois par des palestiniens sans pitié.

Exiger le retour des otages, c’est la seule demande qui est audible à mes oreilles, la seule exigence qui vaille. Qu’ils aillent exiger leur libération et après on reparlera de ce qu’Israël doit ou ne doit pas faire.

ENGLISH

I am fed up with these international injunctions telling Israel what to do or not to do regarding Gaza or Lebanon. A certain president and he is not the only one .. asks Netanyahu this morning to stop his intervention in Rafah

Go and ask Hamas to return the hostages then we’ll talk about it .

Go and ask Hezbollah to stop its daily shooting into civilian communities in northern Israel then we’ll talk about it.

Go and ask Lebanon to control its border and disarm Hezbollah then we will talk about it.

Go and ask Iran to stop its nuclear arms race and threats to Israel then we will talk about it.

Instead, let them tackle the cancer that is beginning to eat away at their own country before giving us advice on how to heal ourselves.

It is very easy to say what to do, when you do not have daily losses yourself; when we don’t have a population traumatized by the greatest massacres of civilians ever committed in its modern history; when you don’t have two hundred families who cry out their suffering and their despair at not being able to recover their children and their parents who are hostages in Gaza.

It is very easy to criticize Israel, a democratic country that will always respond diplomatically, politely, without provoking threats or excessive anger.

Enough of these postures and these variable geometry indignations which follow the fashion dictated by their own active minorities. Today I don’t have the patience to hear all this.

Since October 7, 2024 at 6:25 a.m., Israel has every right to attack its enemies, every right to enter Gaza and search house by house if necessary, to find these fellow citizens detained for nearly 9 months by ruthless Palestinians.

Demanding the return of the hostages is the only demand that is audible to my ears, the only one that is worth talking about. Go and demand their release then we’ll talk about what Israël should or shouldn’t do.

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