Les jours semblent se ressembler et pourtant cette guerre nous reserve encore de nouvelles surprises. Ce 15 décembre, nous avons toujours du mal à accepter cette terrible nouvelle du décès des 13 soldats de l’unité Golani qu’une autre terrible nouvelle nous secoue.
Cette journée qui commence bien tristement , se finit par un grand moment d’effroi lorsque le porte parole de l’armée annonce que 3 otages qui essayaient de s’enfuir ont été tués par erreur. Cette nouvelle nous plonge malgré nous dans une réelle stupeur.
Comment est ce possible? Cette question, tous les commentateurs se la posent et pourtant on peut facilement imaginer que ce scénario était plus que probable. Les soldats vivent sous tension maximale depuis des semaines. Ils mènent une guerre en zone urbaine avec des combattants du Hamas habillés en civil qui utilisent notre désir et notre volonté de sauver les otages comme une arme redoutable.
Des poupées qui pleurent sont placées dans des maisons piégées pour inviter les soldats à y pénétrer, en leur faisant croire que le petit Kfir s’y trouve peut-être. Dans d’autres endroits des soldats sont entrés dans des bâtiments où était écrit en hebreu « à l’aide », ses bâtiments se sont avérés être piégés.
On ne sait pas encore précisément ce qu’il s’est passé mais ce qui est certain, c’est que l’armée a fait preuve d’une transparence exemplaire en rendant public sans hésitation cette erreur dramatique et que les soldats responsables de ces tirs malheureux auront besoin d’un soutien psychologique.
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The days seem to be the same and yet this war still has new surprises in store for us. This December 15, we are still having difficulty accepting this terrible news of the death of the 13 soldiers of the Golani unit that another terrible news shakes us.
A very sad day indeed, ends in a dreadful moment when we hear the army spokesperson’s announce, that 3 hostages who were trying to escape were killed by mistake. This news plunges us, into real stupor.
How is it possible? All commentators are asking this same question and yet we can easily imagine that this scenario was more than likely. The soldiers have been living under maximum tension for weeks. They are waging an urban war with Hamas fighters dressed in civilian clothes who use our desire and will to save the hostages as a formidable weapon.
Crying dolls are placed in booby-trapped houses to invite soldiers to enter, making them believe that baby Kfir may be there. In other places soldiers entered buildings with “help” written in Hebrew, and his buildings turned out to be booby-trapped.
We do not yet know precisely what happened, but what is certain is that the army demonstrated exemplary transparency by making this dramatic error public without hesitation and that the soldiers responsible for these unfortunate shootings will need psychological support.
